Words, words, words...
Frimas d'avril dans la forêt.
La yeuse exécute un zapatéado en agitant ses feuilles piolées.
C'est dit : les maries-salopes de la côte ne seront pas nées de ton bois.
Les dévoirants n'ont qu'à bien se tenir : à blanc-étoc ils seront.
Printemps approche.
Toutes terres bientôt exondées.
Le douzil fendu qui annonce le vin frais.
Bejannies et quolibets fuseront.
Empan allongé des jours.
De plein air, la manécanterie.
Oblations, oblations, oblations...
Un rouan se joint à la fête.
En tapinois, une Suzon nargue son amant.
Vartigué ! Tu es une drôlesse !
Les trivelinades des fripons n'ont plus cours.
La statère du peuple est juste.
Tournez casaque vaguemestres !
Bêtes aumailles, faites bombance !
Blondins et aujoulets s'amusent enfin.
Une rouffle encore pour cet odieux attrape-minon.
Le quidam durchéant n'en peut mais.
Triades symboliques, ennéades magiques.
Escamanc !
Hale-boulines : déguerpissez !
Lagrimoso, Messire Josse rend les bijoux du temps.
Que Maufait t'accompagne !
Foulons aujourd'hui le rain giboyeux.
Salignons négines dans la bouche.
Bals et popines et toute la rocambole !
Cette pierre smaragdine dans ta main.
Turlututaines nouvelles.
La venette s'en est allée : ocieuses les heures.
Amour pancreste des cimes.
Vois mon tarbouch ! Vois mon calicot !
Adamantins, nous resterons !
Josteor, mon grimoire vanant est rempli.
Ab hoc et ab hâc, ce conte ?